De 1995 à 1999
La remontée et début de l'ère Robert Louis Dreyfus
La rancœur et la haine tellement féroce qui habitaient ces gens là les ont meme poussées à nous "voler" notre Titre de Champion 92-93, à nous faire exclure de toute compétion européene entre 1993 et 1994, à nous reléguer à l'étage inférieure à l'intersaison 94-95 alors qu'on a terminé dauphin et à nous refuser la remontée en Mai 1995 alors que bien laminé, on a crée l'exploit de finir Champion !!!
Ces belles ordures ont signé là du coup le plus honteux quadruplé de l' histoire.
Bernard Tapie qui clame toujours son innocence ne souhaite pas courber l'échine.
Il recrute une équipe de grognards avec les retours de Bruno Germain, Bernard Casoni, et les arrivées de Marcel Dib, de Michel de Wolf complétées de celle de l'efficace buteur irlandais Tony Cascarino.
Marc Bourrier débuta la saison sur le banc de touche avant de céder sa place de façon éphémère à Gérard Gili dont le contrat fut invalidé par les Instances (ou plutôt les Bourreaux de là haut). Finalement on assistera à la Première d'Henri Stambouli en tant qu'entraineur. On assiste aussi à l'avènement des Minots comme Marquet, le regretté Waucoboué, Jambay, Libbra qui on su s'agripper à la perche qui leur fut tendue. Finissant au bout du compte deuxième lors da précédente saison, l'OM était donc mathématiquement qualifié en Coupe de l'UEFA.
L'Olympiakos est doublement balayé lors des deux manches à l'aller et dans un Vélodrome en feu.
Au Pirée, dans une ambiance étouffante, les Marseillais résistent et marquent deux buts, dont un superbe du jeune Marquet(1-2) . Quinze jours plus tard, un doublé signé Tony Cascarino et un but de Jean Marc Ferreri renvoyèrent les grecs a leur chère étude(3-0) . Au tour suivant le non match face aux helvètes de Sion (2-0) nous a sans doute compliqué la situation d'autant plus qu'une cagade de Fabien Barthez en début de partie lors de la joute retour nous a couté quant à elle la qualification de part la régle des buts marqués à l'extérieur en cas d'égalité sur l'ensemble des deux matchs malgré les trois réalisations inscrites par la suite dans un Vélodrome chauuffé à blanc. Toutefois cette grosse victoireeut pour effet de galvaniser les Olympiens dans leur objetif de regagner l'élite en de saison. Cétait sans compter les volontés du Petit Rageux qui était aaux commandes de La Ligue qui allait réussir son rêve de démolition en deux étapes : faire évincer Bernard Tapie de toute fonction officielle dans un club de football professionnel d'une part et faire condamner par ses girouettes qu'il al lui au purgatoire au terme de la saison malgré son titre de Champion.
Pour l'OM et ses vieux briscards, allait devoir se se reconstruire et essayer d'oublier ses avatars et réapprendre à exister sans le concours de Bernard Tapie désormais.
Mais que la route sera longue et parsemée d'embuches avant de renaitre de ses cendres.
L'intérimaire de service Pierre Cangioni laisse alors sa place à Roussier au poste de Président qu lui meme conforte Henri Stambouli dans l'exercice de ses fonctions. Au niveau sportif, le "cadeau" du Nain de service fut indigeste et le début de saison fut des plus insignifiantes avec pas moins de cinq défaites au bout des dix premières journées. Roussier relance à nouveau Gérard Gili, cette fois avec un contrat en bon et du forme. Ce dernier réussit le pari de la montée, l'OM accrochant la seconde place derrière Caen, battu au Vélodrome 1 à 0.
En Coupe de France, L'OM atteint la demi-finale en se faisant éliminé par l'AJ Auxerre à domicile suite à une séance de tir au buts fatale. Quoiqu'il en soit l'Honneur fut préservé et l'objectif de regagner sa place dans l'élite fut atteint.
L'OM retrouve la Première Division donc à partir de 1996 et va réaliser une saison très moyenne.
Les recrues Pedros et Letchkov déçoivent, les Italiens Malusci et Franceschini ne sont juste des touristes de passage, Heureusement queXavier Gravelaine et le gardien Allemand Kopke tiennent l'équipe à bout de bras.
L'OM se maintient en milieu de tableau et l'arrivée de Robert Louis Dreyfus laisse augurer des lendemains qui chantent.
Le Vélodrome est en chantier pour la Coupe du Monde.
L'humiliant camouflet (0-8) reçue à Lyon finira par placer un énorme fossé entre les joueurs et le Public...
Contre Nantes, c'est même l'émeute au vélodrome. Gérard Gili est abattu, bref, le retour en D1 n'est pas encore une partie de plaisir. RLD annonce du changement, Gérard Gili laissant sa place à Rolland Courbis. Le club au terme d'une saison fort compliquée finira dans le mou au classement final.
1997-1998 c'est la saison Pré-Coupe du Monde en France. L'antre du Boulevard Michelet fait a mue. Robert Louis Dreyfus ne voulant sans doute pas ternir son image dés le début offre à Roland Courbis pour façonner un effectif resplendissant avec le recrutement de Laurent Blanc, , Fabrizio Ravanelli, Christophe Dugarry voir Titi Camara. Tous des joueurs internationaux et leaders aguerris.
Longtemps dans le bon wagon de tete, l'équipe marqua quelque peu le pas dans la dernière ligne droite avant de finir 4éme au final.
Le club célèbre son centenaire lors de la Saison suivante 1998-1999 puisqu'il fut créé en 1899 donc et l'équipe marseillaise est engagée dans quatre compétitions : le championnat de France de première division, la Coupe de France et la Coupe de la Ligue au niveau national ainsi que la Coupe UEFA au niveau européen.
L'Olympique de Marseille est créé en 1899 et célèbre donc son centenaire. À cette occasion, le club adopte un logo spécial pour la saison. Les lettres O et M entrelacées, blanches à liseré bleu, changent de couleur ; le O est doré et le M est bleu ciel. Le fond du logo, transparent, est rempli par du bleu roi. Le cartouche barrant les lettres et contenant l'inscription Droit au but est supprimé. La devise est notée dans la partie basse de la lettre O et les nombres 1899 100 1999 sont présents dans la partie haute. L'étoile dorée célébrant la victoire en Ligue des champions, habituellement au-dessus du logo, est insérée dans le fond bleu roi entre les deux barres obliques du M.
Cette saison se caractérise principalement par une double place de second. Jusqu'au début du mois de mai, le club phocéen prétend légitimement à un doublé Coupe UEFA-Championnat. Il se qualifie le 20 avril 1999 en finale de la Coupe UEFA aux dépens du club italien du FC Bologne et il est premier au classement le 30 avril 1999 au soir de la 31e manche, soit à trois journées du terme du championnat. Il s'avère que l'OM termine finaliste de la coupe européenne contre le club italien de l'AC Parme puis dauphin des Girondins de Bordeaux en Division 1. Cette 38éme et derniére journée a néanmoins fait couler beaucoup d'encre quant à son équité totale.
Les parcours en coupes nationales sont éclipsées par ces deux performances et par les éliminations précoces, toutes deux contre le Racing Club de Lens.
Le bilan de fin de saison se solde entre l'amertume d'une saison blanche et la satisfaction d'une troisième finale européenne en neuf ans couplée à une place qualificative directe pour la Ligue des champions 1999-2000.